Mona Dolores Fairbanks
MILES PARCOURUS : 13 ROADIEN DEPUIS LE : 11/05/2012 TON AVATAR : astrid bergès-frisbey CRÉDITS : .
GIVE ME YOUR HAND ÂGE DU PERSONNAGE : dix neuf ans AMOUREUSEMENT : célibataire ARRIVÉE : ailleurs que bishops, de préférence. ROAD PLAYLIST : the specials - ghostown ; the doors - my wild love ; iggy pop - monstermen ; george baker - little green bag ; velvet underground - candy says ; the sonics - have love will travel
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| Sujet: (F) JENNIFER CONNELLY ⊱ psychotic mom (libre) Mar 15 Mai - 13:30 | |
| judy rainbow fairbanks “hello darkness my old friend”
feat. jennifer connelly ; crédit @tumblr⊱ NOM : fairbanks ⊱ PRÉNOM : judy rainbow ⊱ ÂGE : quarante-deux ans ⊱ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 09 mars 1970, bishops hill ⊱ NATIONALITÉ : américaine ⊱ EMPLOI : vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter et loue une chambre aux voyageurs ⊱ STATUT SOCIAL : séparée ⊱ CARACTÈRE : organisée ; maussade ; travailleuse ; désillusionnée ; envieuse ; jalouse ; hystérique ; impulsive ; caractérielle ; découragée ; persévérante ; rancunière ; attendrissante ; rusée ; rêveuse ; défaitiste ; accueillante ⊱ GROUPE : city blues. ❧ let's hit the road, jack « Je suis née, j’ai grandi et j’espère vraiment ne pas finir mes jours ici. Bishops Hill, tu aurais pu être mon paradis sur terre, mais c’est devenu l’enfer. Tout ça à cause de toi, Billy. Si je pouvais, j’irais à Chicago et je t’exterminerais sale petite vermine, toi et ta Renée et vos enfants de malheur ! Maudit soit le jour où je t’ai rencontré. Vous savez, au départ Billy et moi c’était le grand amour, celui de ma vie. J’avais dix-huit ans lorsque je l’ai rencontré. On m’avait filé un tuyau pour être serveuse dans un café du coin après que Donna ait pris sa retraite et il avait l’habitude de venir avec son groupe d’amis pour y jouer au baby-foot. Cinq ans plus tard, j’accouchais de Mona. Pour lui, j’ai mis de côté mes aspirations. Mes parents ont toujours été assez libéraux, des « hippies » si vous préférez et ils m’ont élevé selon ces valeurs. J’avais des rêves, la vie s’annonçait belle, surprenante, j’aurais pu voyager, vivre de superbes expériences mais pour lui –oui, je parle de toi espèce de petite raclure – j’ai changé, j’ai tout mis de côté. Je suis devenue la parfaite ménagère dont il rêvait. Tu les aimais mes petits plats, hein ? Et mes cocktails, et toutes les petites attentions que j’avais envers toi ! Tout ça pour que ce chien de la casse me quitte pour cette maudite Renée sortie de je ne sais où ! Tu m’as laissé, abandonné ! Je n’ai personne ! Personne à part ma petite Mona. Ma jolie Dolly ! Et puis tous ces gens qui viennent ici, qui voyagent le cœur léger, avec leur road trip de pacotille et qui ne me viennent pas en aide ! Sortez-moi de là ! Emmenez-moi ! Pitié ! Je vous hais ! Je vous hais tous ! Vous vivez la vie que j’aurais aimé avoir, pourquoi suis-je là ? »
mona dolores fairbanks ; my lovely dolly Mona et sa mère entretiennent une relation pour le moins particulière. Depuis le départ de Billy, sa mère a viré dans une sorte de folie et avec les années, elle s’est de plus en plus enfoncée dans son malheur. A présent, son cas relève de la pathologie, autrement dit « maman a pété un plomb ». Entre crise d’hystérie et de moment de triste lucidité, elle en demande beaucoup trop à sa fille, sans s’en rendre compte. Elle attend d’elle qu’elle soit son amie, sa confidente mais aussi sa compagne. Si par malheur Mona décidait de sortir un soir où elle aurait eu besoin d’elle pour lui remonter le moral, elle lui taperait une crise d’hystérie monstrueuse. Sa fille représente sa seule attache à cet environnement qu’elle déteste de tout son être. Sans Mona, dieu sait ce qu’elle aurait été capable de faire. Mais lorsqu’elle semble plus lucide, elle essaie de mettre ses soucis de côté et la vague à l’âme, elle tente de subvenir aux boissons de la petite famille en travaillant comme une forcenée dans la boutique de prêt-à-porter. C’est dans ces moments de lucidité que sa vraie personnalité se révèle, la gentille femme brisée, attristée, la fleur fanée – l’attendrissante Judy. samson cabhsair-shields ; you're a kind of devil : Qu’il reste ! Qu’il parte ! Judy ne sait plus quoi en faire. Depuis qu’il habite sous le même toit qu’elle et Mona, les choses ne vont pas exactement comme elle le souhaiterait. Les premiers jours étaient vraiment biens, le parfait locataire et puis Judy n’était, à vrai dire, pas insensible aux charmes de l’irlandais. Mais depuis quelques temps, des soupçons planent au sujet de Samson et sa fille, mineure encore. Quelque chose est en train de se produire ; des idées finissent par l’assaillir : et si jamais ils s’amourachaient ? Et son esprit ne cesse d’y penser. Mona finirait par passer plus de temps avec lui qu’avec elle. Judy n’est pas dupe, bien qu’elle soit mineure, sa fille n’est plus une enfant et par amour, elle le sait, on peut tout quitter, comme elle l’a fait il y a bien longtemps pour Billy. Et si Mona finissait par la quitter ? Elle y pense, y pense encore et encore et finit par s’en inquiéter. Puis par paniquer. Le risque est trop élevé, les conséquences peuvent être affreuses ; Samson et Mona ne devront jamais être ensemble. Mona ne devra jamais être avec quelqu’un. Pas sa fille chérie. Rien ne s’est pourtant encore produit, peut-être, n’est-ce qu’une fabulation et de ce fait, aucune action ne lui est réellement possible.
be cool, be straight Que celui qui prenne ce scénario soit béni des dieux la mère de Mona est un personnage important dans son histoire alors, prenez-le, s'il vous plaaaait en tout cas, le prénom est parfaitement négociable, ainsi que l'avatar (parce qu'à vrai dire, je n'ai pas vraiment eu d'inspirations concernant le choix de la célébrité) si vous avez des questions, n'hésitez pas, envoyez moi un mp
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