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“i am the passenger and i ride and i ride i ride through the city's backsides i see the stars come out of the sky”


feat. James Franco ; crédit @tumblr

⊱ NOM : Cabhsair-Shields ⊱ PRÉNOM : Samson ⊱ ÂGE : trente ans ⊱ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 02 janvier 1982 ⊱ NATIONALITÉ : irlandais ⊱ EMPLOI : ancien professeur ⊱ STATUT SOCIAL : séparé ⊱ CARACTÈRE : simple; cultivé; passionné; distant; réfléchi; humble; curieux; discret; menteur; culotté; imaginatif; sensible; secret; contrôlé; rêveur ⊱ GROUPE : walk away.

J’ai toujours eu de la chance, je n’ai pas à me plaindre. Je suis né à Dublin, de parents irlandais et j’y ai vécu une bonne partie de ma vie entouré de mes frères et sœurs, de mes amis également. J’y ai mené la vie que l’on me souhaitait. Bon élève en langues et littérature, j’ai poursuivis mes études dans cette voie, appuyé par ma famille. J’ai effectué plusieurs voyages en Europe, en Asie ; en Amérique, j’ai passé un an en Nouvelle-Calédonie. Je suis finalement revenu en Irlande, auprès des miens et trouvé une place en tant que professeur, dans un collège privé, réputé à Dublin. J’y ai rencontré celle qui devint ma femme au cours d’une somptueuse et pompeuse cérémonie, Valentine. Nous nous sommes installés dans les quartiers chicos, à l’intérieur d’une monstrueuse bâtisse, poutres apparentes, mobilier moderne, bouffant du soja et du bio, en m’informant des prochains opéras et concertos. Je me suis mis au golf, au tennis ; j’ai arpenté les courses de chevaux et participé à des galas. Je suis de nouveau parti en voyage, dans des hôtels hors de prix, luxueux et aussi pompeux que mon mariage où les bourgeois de tous les pays viennent siroter leurs cocktails dans la piscine décorées de palmiers. Valentine m’a appris à être un parfait hôte lorsque nous recevions nos amis, au cours de longs dîners où le vin était soigneusement choisi, dégustant de délicieux mets, discutant littérature, philosophie, politique, étalant notre culture à tout va, évoquant la dernière pièce de théâtre que nous étions allés voir. J’ai, durant cinq ans, mené cette vie fastueuse avec Valentine, puis je me suis rendue qu’elles –Valentine et ma vie- avaient dévorés mon âme, quelques miettes restaient éparpillés. Je déprimais, broyais du noir et je quittai ma bonne petite Valo, ma bonne petite vie, mon travail, ma maison avec ses poutres apparentes et mon mobilier moderne. Vous savez, la vie que je menais était celle qu’on aurait voulu que je vive et dont je me suis contenté un sacré bout de temps. Mais je dépérissais, je m’ennuyais et si j’avais dû tenir cinq ans encore, je me serai tirer une balle dans la bouche. J’ai dû m’éloigner, je l’ai fait et depuis que je sillonne les routes, je n’ai jamais été aussi épanoui ; la simplicité, la légèreté, la liberté.

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« Mona, tu es simple. Mona, tu es belle. Tu es simplement belle. Mona, Dolores, tu es ma Dolly, ma poupée. Mais Mona, tu es mineure, tu es jeune, tu n’es qu’une enfant. Je suis un grand dadet, et je te désire. Je voudrais t’enlacer, que ton corps se presse contre le mien et que de tes frêles bras, tu m’enlaces à ton tour. Que de ta jeune bouche, tu embrasses mon corps, mes lèvres. Que ton regard ne se détourne jamais de moi, que je finisse par n’être que grâce à toi. Mais je me reprends ; je ne peux pas et je partirai. Que je parte ! Si seulement mais la seule idée de ne plus te voir m’emplit de tristesse. La nuit, tu embrases mes rêves et c’est au petit matin que je prends conscience de la perversité dont je fais preuve à ton égard. Je ne sais pourquoi, je ne sais comment, mais tu réveilles en moi tellement de sentiments ; Valentine a dévoré mon âme, tu m’en as donné une nouvelle. Je ne peux pas t’avouer mes sentiments, tu le sais, nous savons que ce serait de la folie de s’enticher l’un de l’autre. Et je devrais partir si jamais ces sentiments venaient aux oreilles de ta mère. Aimerait-elle que son trentenaire de locataire fricote avec sa belle enfant, encore mineure ? Accepterait-elle que je reste auprès de toi et que je puisse exprimer, de la façon dont il le mérite, mon amour inconditionnel pour toi ? J’en doute, et je ne tiens pas à courir le risque de te perdre, et d’être contraint à quitter ces lieux. Alors, pardonne-moi, Dolly, si je décide de garder cet amour pour moi et pardonne-moi si, à l’avenir, je me montre désagréable avec toi. Je tiens juste à cacher la passion qui me dévore, pour pouvoir jouir de ta présence. Pardonne moi je me mens, si je te mens et ne te montre pas à quel point je t’aime. Si nous étions seuls dans cette ville, je baiserais chaque partie de ton corps et si je dois résister à tes charmes pour rester ici, alors je résisterais».

« Tout a commencé par un tableau d’affichage à Bishops Hill, lorsque je venais d’y débarquer : Vous cherchez à vous loger à Bishops Hill ? Je peux vous aider. Le tout suivi d’un numéro de téléphone et signé par J.R. Fairbanks. Alors, j’ai appelé, la chambre à louer me convenait, et c’est ainsi que je me suis mis à vivre sous le même toit que Judy et Mona. Madame Fairbanks m’a dès le départ obligé à l’appeler par son prénom, et à en croire ses regards langoureux, je semblais lui plaire. J’ai toujours remarqué qu’elle était spéciale. A certains moment tristement lucide, et à d’autres totalement hystérique ; bien qu’elle ne le soit pas ouvertement devant les étrangers. Très spéciale, la mère Fairbanks, mais incroyablement accueillante, parfois même très attendrissante. Si elle se comporte si étrangement parfois, c’est qu’il doit y avoir une raison et son « maudit ex-mari » doit sûrement y être pour quelque chose. Passons. Le fait est que je suis dingue de sa fille, mineure rappelons-le, dont je ne supporterais pas d’être à l’écart. Si jamais mon amour pour elle venait aux oreilles, je ne donnerais pas cher de ma peau. Elle me chasserait de sa maison, pour sûr, et peut-être entacherait-elle mon nom au sein de la ville afin que je sois contraint d’y partir. Ok, il se peut que j’exagère, mais il se peut que je vois juste et ne voulant surtout pas prendre le risque de perdre de vue ma Dolly, je me tais, garde mes sentiments pour moi et essaie d’être le plus agréable possible avec madame Fairbanks ».

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be cool, be straight

OYEOYE ce rôle est totalement libre et ne demande qu'à être pris par toi, ô visiteur ! Allez, Franco il est jeune, il est beau; ne résiste pas! Bon bien sûr, si tu le prends l'avatar est peu négociable (même difficilement négociable) et si, par hasard, tu ressens une haine viscérale pour JF, je pense que Joseph Gordon Levitt fera trèès bien l'affaire ! Pour les petites formalités, telles que le nom ou le prénom, tu peux les modifier à ta guise ! Si jamais tu as des questions, envoie moi un mp