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| Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » | |
| Auteur | Message |
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Mederick C. Bloomsberry
MILES PARCOURUS : 15 ROADIEN DEPUIS LE : 13/05/2012 CRÉDITS : Dodixe
GIVE ME YOUR HAND ❧
| Sujet: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 17:45 | |
| MEDERICK CONNOR BLOOMSBERRY “Love me two times girl”
feat. Chace Crawford ; crédit @tumblr⊱ NOM : Bloomsberry. ⊱ PRÉNOM : Mederick Connor ⊱ ÂGE : 26ans ⊱ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 28/05/1986 à Manchester ⊱ NATIONALITÉ : Anglaise. ⊱ EMPLOI : Journaliste pour le journal local ⊱ STATUT SOCIAL : Aisée ⊱ CARACTÈRE : Silencieux - Attentionné - Renfermé - Impassible - Généreux - Agressif - Indépendant - Cultivé - Brillant - Mystérieux - Séducteur - Jaloux. ⊱ GROUPE : City Blues. ❧ let's hit the road, jack (écrire ici les 5 chansons que ton personnage aurait forcément dans sa playlist de roadtrip, indications à effacer) ⊱ THE DOORS : Roadblues House ⊱ PAUL KALKBRENNER : Sky and Sand ⊱ EDDIE VEDDER : Guaranteed ⊱ NINA SIMONE : Feelin' good. ⊱ GHINZU : Blow. → Il est fan du rock, dans tous ses genres mais apprécie en général le rock des 70's ou alors les bizarreries pop. ϟ Il était étudiant en cinéma&commerce à l'université et a fait de bonnes études ϟ Son plus grand rêve est devenir scénariste ou réalisateur ϟ pourtant, après avoir connu une mauvaise expérience dans cet univers, il se contente en tant que simple journaliste - reporter pour un journal indépendant ϟ mais il écrit un scénario derrière, dans le plus grand secret ϟ c'est un grand cinéphile, et il connaît un nombre incalculable de répliques ϟ C'est également quelqu'un qui lit beaucoup et très curieux, ce qui fait de lui quelqu'un de très cultivé ϟ Il reste cependant assez nihiliste et indifférent à tout, et vivre dans une caravane pendant les cinq mois qui suivent, avec juste du coca, des clopes et un des bons disques, c'est le kiff pour lui. ϟ Il déteste en plus haut point la trahison et est par conséquent très rancunier ϟ lIl fume des Winston Red et pas seulement, il lui arrive parfois de fumer des substances illicites, il a de plus un goût particulier pour l'alcool. ϟ Il peut paraître très froid et cynique en apparence, mais lorsqu'on apprends à le connaître, c'est un tout autre homme, il a comme plusieurs facettes : il devient alors attentionné, amusant, dynamique et généreux. ϟ Il est très joueur et aime beaucoup les différents jeux de cartes, il est particulièrement brillant et fort au poker. ϟ Il déteste le café et le thé, rien que l'odeur lui donne envie de vomir et d'éternuer ϟ Il ne dort que sur le ventre ϟ Il a grandi à Manchester entre un grand père conservateur qui voulait l'envoyer à la guerre et une mère absente ϟ ce qu'il a toujours refusé, son plus jeune frère a cependant accepté et est mort lors d'une opération au moyen-orient ϟ il a donc depuis sa jeunesse un côté très agressif, débrouillard et indépendant présent ϟ A l'université, il avait une réputation de connard, mais cela ne l'empêchait pas d'être populaire et d'être le bourreau de certaines personnes, réputation qu'il continue parfois d'entretenir ϟ il joue de la guitare et compose à ses heures perdus ϟ Il était capitaine de l'équipe de Soccer à l'université ⊱ LA VIE DE NOMADE, DE "ROADTRIPER", QU'EST CE QUE ÇA REPRÉSENTE POUR TON PERSONNAGE ? C'est déjà plus ou moins le cas, et je dois dire que je n'ai jamais rêvé de mieux. J'ai toujours voulu échapper à ma famille conservatrice, à cette foule de gens sots et stupides. Après la mort de mon frère, le projet me trottait déjà en tête et c'est finalement le mariage de Alison qui m'a poussé à partir du jour au lendemain. Je sais que je serais bien plus heureux avec quelques clopes et bonnes bouteilles de Jack, de bons CD's et c'est actuellement ce que je vis. Dans cette ville paisible, je travaille peu et je profite de mon temps libre pour explorer ses belles contrées américaines, de nouveaux paysages, de nouvelles cultures sans avoir à m'attacher, le bonheur absolu.
far away from home ⊱ TON PSEUDO : Pépito Bleu. ⊱ TON PRÉNOM : Lucie. ⊱ TON ÂGE : 17ans ⊱ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5j/7. ⊱ TON AVIS SUR LE FORUM : Soigné et très beau ⊱ OU L'AS TU TROUVÉ ? : Bazzart ⊱ UNE ULTIME BAFOUILLE : Come on baby light my fire...
Dernière édition par Mederick C. Bloomsberry le Dim 13 Mai - 18:55, édité 4 fois |
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Mederick C. Bloomsberry
MILES PARCOURUS : 15 ROADIEN DEPUIS LE : 13/05/2012 CRÉDITS : Dodixe
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| Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 17:46 | |
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just a simple kind of man Je crois que le seul moment ou j'ai vraiment du connaître et aimer ma famille, c'était à ma naissance, à Manchester, jusqu'à ce que j'apprenne à parler et marcher, et alors là depuis, c'est foutu. On va dire poliment que ma famille est très traditionnelle et patriotique. Elle veut que tous les hommes aillent défendre leur pays pendant que les femmes s'occupent de la maison et des gosses, qu'on soit tous un peu abrutis par le sang et des bêtes sanguinaires sans coeur, ainsi que totalement moutons a tout ce qu'on leur dit. Il est aussi bon de préciser que mon père, ce lâche, m'abandonnait dès mes cinq ans pour s'en aller gambader avec une mannequin française sur Paris. Je fus donc élevé par mon grand père, et bien que j'avais une mère quelques peu "poule", celle ci fut asservi par l'idéologie militariste de mon grand père maternel, figure d'autorité à ses yeux. Une mère assez absente dans mon éducation, mais qui me couvrait de présents. Alors, il faut dire que dès mon plus jeune âge, mon grand père me bourrait le crâne avec sa doctrine patriotique sur le fait qu'il faut devenir soldat, servir et mourir pour sa nation et tout ces autres futilités de guerre. Lorsque que j'avais environ 10-12ans, après l'école primaire, pendant tout l'été, ils m'envoyait dans un espèce de camp de scout avec l'esprit militaire et de combat puissance milles. J'étais choqué de rencontrer des gens en théorie de mon âge s'assouvir ainsi aux obligations injuste de leur parents. Je n'avais donc aucun ami, ne serait ce que connaissance avec qui parler de football, ou n'importe quel sujet universel masculin. Cependant, la solitude ne me dérangeait pas. Ce qui me dérangeait le plus, c'est qu'en plus d'être ici par obligation, on me donne encore des ordres sur ce que je devais faire et ne pas faire, l'esprit militaire en lui même donc. J'avais beau faire mon lit ou ranger mes affaires comme n'importe qui, il y a toujours un truc qui n'allait pas. Et il fallait que l'espèce de leader de la bande de scout, Daniel m'embête tout le temps et me dénonce tout le temps pour que je me prenne des raclés, pompes et punitions. Un jour, nous étions allés faire un atelier de chasse à poulets dans une petite ferme isolé de la campagne anglaise. Il fallait tirer avec de boules de couleur sur tout les poulets qui passaient et celui qui avait tiré sur le plus de poulets (un nombre importants de poulets ayant sa couleur à lui) gagnait un prix. Etant donné que jusqu'ici je ne trouvais pas de vrai moyens de me venger de cette semaine de supplice sans me prendre des coups, j'ai décidé de me révolter à ma façon. Lors du jeu, j'ai foncé volontairement dans Daniel pour échanger son fusil avec le mien. Ensuite, je me suis caché parmi les nombreuses bottes de foin installés pour l'occasion de l'atelier, et j'ai mitraillé de ma cachette les deux principaux responsables de cette "colonie de vacances" . J'ai ensuite pris les jambes à mon cou pour reprendre l'atelier. Ce dernier fut immédiatement arrêté, et ainsi, lorsqu'ils prirent les fusils de chacun, les mélangeant au passage et tirant à terre, la couleur qu'il avait attribué a chacun au début du jeu dévoilerait le coupable. Il se trouve que la couleur bleu, soit la mienne était la bonne, et que son fusil appartenait réellement à cet imbécile de Daniel. Le jeune homme avait beau se justifier, il fut renvoyé et roué de coups également. Ma façon de montrer mon petit "fuck" à la guerre et aux leaders qui se croient tout permis. J'étais pas un élève modèle à l'école. En effet, il faut dire que je suis quelqu'un d'assez impulsif, anticonformiste et parfois un peu rebelle. On me collait l'étiquette de "l'antipathique" au lycée et même si c'était pas forcément faux, j'aimais pas cette étiquette, et comme un con, j'utilisais mes poings, ou des insultes pour me faire entendre. J'ai eu quelques amis, mais souvent, mais j'étais assez évasif et froid, je les trouvais tous con pour la plupart. J'avais pas envie que les gens voient vraiment ce que je suis : quelqu'un d'attentionné et généreux, qui a tendance à s'attache trop vite et a toujours vouloir être là pour les siens. Puis, je me suis dit qu'il ne valait mieux pas qu'il s'attache à un mec aussi tordu que moi, qu'ils finiraient par en souffrir alors qu'il fallait autant les faire dégager avant qu'ils ne s'attachent par on-ne-sait-quel-miracle à moi. En plus, même si j'aimais les études, je me suis jamais senti bien dans le moule de l'école. Les filles ne m'intéressaient pas, elles étaient toutes sottes et creuses, les garçons étaient remplis d'amour propre et de fierté masculine, abrutis par le sport et les belles filles. Né d'un père anglais et d'une mère italienne, je suis né à Manchester en Angleterre entouré d'un beau soleil et d'un climat favorable, c'est également à Manchester que naquit mon frère un bébé aussi beau que que le soleil. Ensembles, on formait la fratrie Bloomsberry. Les inséparables,, moi & Nathaniel, on était comme deux gosses tout droits sortis des "400 coups" de François Truffaut, à foutre la merde partout tout le temps pour n'importe et n'importe comment. J'en avais rien à foutre des conséquences, tant que j'avais mon frère et ma soeur, j'avais pas besoin de parachutes, je les avaient, et c'est tout ce qui comptait. Le foyer familial n'était donc qu'une grosse blague désormais pour moi, un cirque de l'hypocrisie et de la comédie. . Cependant, le pire était que je devais également mentir à mon frère, qui lui était également un fervent partisan de la guerre, et que j'aimais pourtant d'un très solide amour fraternel. Il était plus âgé, et avait déjà bien été entamé par la culture de guerre et mes parents. Il n'était pas aussi extrémistes que mes parents, avait des raisons valables et qui étaient de son droit. Il n'était pas complètement abruti comme les autres soldats, c'était un élève brillant, un véritable visionnaire et quelqu'un de très épicurien. J'ai du lui mentir à lui, paraître content et heureux pour lui qu'il parte en guerre en Irak il y a quelques années. Et ensuite, j'ai du cacher mes larmes de rage et de regrets à sa mort. Si seulement je lui avais dit ce que je pensais, si je ne lui avais pas menti ainsi alors que j'étais son frère et que j'étais en position de tout pouvoir lui dire. Aussitôt, après cette mort, je suis devenu quelqu'un de passif, taciturne envers mes parents qui continuaient à me bourrer le crâne en prenant cette fois l'exemple de mon frère James comme fierté de la nation par sa bravoure et son courage. Foutaises. Ainsi, dès que j'ai pu en avoir l'occasion, j'ai pris mes clics et mes clacs, et je me suis pris un appartement seul dans Manchester étant donné que j'avais fini de commerce, principal prétexte que j'avais trouvé afin d'éviter le service militaire. Apprenant mon soudain départ, étant donné que j'avais un peu filé à l'anglaise, mon grand père renié depuis, comprenant que tout ce temps je leur avais menti, et que finalement, je ne ferais jamais son satané service militaire et guerre, et continue aujourd'hui a m'envoyer des lettres assassines sur mon choix, le fait que je n'y arriverai jamais, qu'il ne fallait pas que je compte sur lui pour réparer mes "bêtises de petit enfants" plus tard... Je suis quelqu'un de très indépendant. J'ai jamais vraiment eu besoin d'eux auparavant et c'est pas aujourd'hui que cela va commencer. Mon père est mort cette même année d'une crise cardiaque ou d'une overdose, enfin je ne sais quel autre connerie du show-biz et bizarrement, m'a légué une partie de sa fortune. Fortune donc, que maintenant majeur et célibataire, j'ai utilisé à bon escient. Je l'ai en effet investi dans une grande boîte de production musicale rock-pop, ce qui fait de moi quelqu'un d'encore plus riche que je ne l'étais déjà. Alison elle est italienne. Elle a un léger accent qui ne s'entends pas forcément directement mais qui a tout son charme et la rends encore plus attirante. Elle a des yeux envoûtants qui pétillent et vous emmènent de l'autre côté de la terre juste quand elle ouvre les paupières, elle a une longue crinière à la fois sauvage, insouciante et très impressionnante. Elle a un visage fin, un visage de porcelaine qui force le respect et attise les convoitises, elle a des jambes à vous en faire perdre la tête. Elle a un sourire bouleversant qui vous force également à sourire niaisement sans que vous puissiez rien y faire. Une beauté incandescente et qui paraît à la fois si inaccessible et vulnérable, une beauté qui vous laisse bouche bée et vous coupe le souffle. Sans parler de son parfum envoûtant et qui vous propulse directement dans le Jardin D'Eden, jardin de toutes les féeries et émerveillements. Alison, elle était belle comme un accident de bagnole, elle paraissait sans problème, laissant des éclats rêveurs partout ou elle passait. Je crois, que naturellement, mon esprit et mon regard tends vers elle, inconsciemment sans que puisse réellement le vouloir ou non. Depuis nos 11ans, on avait l'habitude de passer nos vacances ensembles à la campagne, jusqu'à nos 17ans. Si au lycée en raison de nos classes différentes et de nos différents cercles d'amis, on se voyait peu, en secret, je la protégeais de chacune des brutes ou des maux qu'elle a pu rencontrer durant sa scolarité. Durant chaque été passés ensembles, nous partions, nous partions loin de la petite maison de campagne dans lesquels séjournaient mes parents et les siens pour s'enfuir à travers les plaines, aspirer à des jours meilleurs, rêver et s'aimer, s'aimer dans nos longs silences et nos longs regards, nos jeux enfantins et nos aventures romanesques, ou je jouais le preux chevalier téméraire et elle la princesse en péril. Ses sentiments se sont bien entendu approfondis durant l'adolescence, et même si je n'ai jamais goûté à ces lèvres, cette douce torture, je ne voyais qu'elle parmi toutes les sottes qui foulaient cette Terre. Elle avait comme dépeuplé la Terre de toutes ces femmes, aussi envoûtantes soient-elles. Après la mort de mon frère et ma soeur, sa famille a continué de travailler pour nous, et nous passions la plupart de nos temps ensembles, en tant qu'amis et probablement âme soeurs platoniques à qui le dira t'on. Jamais je n'ai osé lui dire combien je l'aimais, lâche que j'étais. Je crois qu'elle n'a jamais su combien je l'aimais. Non, elle n'a jamais du le savoir lorsqu'elle a finalement décidé d'épouser un jeune homme qu'elle fréquentait plus ou moins sur un coup de tête, sous la pression de ses parents également soucieux de s'intégrer dans la bourgeoise anglaise. Peu après mes 25ans, lorsque j'ai reçu le faire-part, j'ai rompu tout contact. Je suis parti, faire quelques voyages prétextant un besoin de changer d'air avant d'entamer ma vie professionnelle, que mon père soit d'accord ou non. Et ainsi je suis parti, ou ça ? Je n'en savais pas grand chose, je lui ai laissé un simple mot dans lequel j'annonçais partir pour l'Amérique. J'ai finalement choisi une ville à laquelle je me suis arrêté en naviguant sur la Route 66, Bishop Hills, plus perdu tu fais pas, mais je m'y plais ici depuis cinq mois, on voit passer de jolies filles, la vie n'est pas chère, c'est paisible, cela me plaît. Pourtant, elle me manque, et je souffre d'une torture cruelle et lente en son absence. Devrais-je céder à la tentation et à mes pulsions de désir non consumés pour la jeune femme, ce Graal ultime ? Je sais qu'elle me veut tout comme je la veux, plusieurs fois même elle m'a fait des allusions, mais à chaque fois je l'ai repoussé, car elle me fascine, elle me fait perdre la tête, elle me rend toute chose, elle me rends con, elle me donne envie de me détester moi même.
Dernière édition par Mederick C. Bloomsberry le Dim 13 Mai - 18:12, édité 4 fois |
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Silas G. Crowley
MILES PARCOURUS : 237 ROADIEN DEPUIS LE : 09/05/2012 TON AVATAR : ian somerhalder. CRÉDITS : riddle (avatar) tumblr (gifs) hurts (lyrics).
GIVE ME YOUR HAND ÂGE DU PERSONNAGE : 29 ans. AMOUREUSEMENT : insatiable, volage. ARRIVÉE : là-bas, cet horizon qui se dessine éternellement devant ses yeux, il aime se dire qu'il n'a aucune destination précise, si ce n'est, concrètement, la fuite. SES GRANDES ÉTAPES : roswell, probablement, d'ici quelques kilomètres, pourquoi pas un détour par le mexique ? et puis la mer et les grandes montagnes rocheuses, la frontière canadienne... bien des projets.
ROAD PLAYLIST : ✕ bob marley : three little birds ✕ she wants revenge : up in flames ✕ acdc : thunderstruck ✕ bad company : road to nowhere ✕ jackson browne : i'm alive ✕ the rolling stones : wild horses ✕ louis armstrong : when you're smiling ✕ lady gaga : monster ✕ placebo : running up that hill.
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| Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 17:46 | |
| BIENVENUE bonne chance pour ta fiche (a) si tu as des questions, n'hésite pas ;) |
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Mary-Lynn J. Hawkins
Jude Ҩ She will be loved.
MILES PARCOURUS : 176 ROADIEN DEPUIS LE : 11/05/2012 TON AVATAR : Leighton Jolie Meester CRÉDITS : Tumblr & bazzart
GIVE ME YOUR HAND ÂGE DU PERSONNAGE : 27 ans AMOUREUSEMENT : Fiancée ARRIVÉE : Bishop Hills SES GRANDES ÉTAPES : Le monde, les grandes civilisations, la vie en dehors de sa petite ville.
ROAD PLAYLIST : ⊱ RON POPE : a drop in the ocean. ⊱ ONE REPUBLIC : all the right moves. ⊱ THE KOOKS : naive. ⊱ PUGGY : hox i needed you. ⊱ GOTYE : somebody that i used to know.⊱ THE LIBERTINES : what katie did. ⊱ COLDPLAY : viva la vida ⊱ THREE DAYS GRACE : i hate everthing about you.
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Mederick C. Bloomsberry
MILES PARCOURUS : 15 ROADIEN DEPUIS LE : 13/05/2012 CRÉDITS : Dodixe
GIVE ME YOUR HAND ❧
| Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 18:20 | |
| Merci a vous deux, que dire de Leighton, un lien sera de rigueur |
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Mary-Lynn J. Hawkins
Jude Ҩ She will be loved.
MILES PARCOURUS : 176 ROADIEN DEPUIS LE : 11/05/2012 TON AVATAR : Leighton Jolie Meester CRÉDITS : Tumblr & bazzart
GIVE ME YOUR HAND ÂGE DU PERSONNAGE : 27 ans AMOUREUSEMENT : Fiancée ARRIVÉE : Bishop Hills SES GRANDES ÉTAPES : Le monde, les grandes civilisations, la vie en dehors de sa petite ville.
ROAD PLAYLIST : ⊱ RON POPE : a drop in the ocean. ⊱ ONE REPUBLIC : all the right moves. ⊱ THE KOOKS : naive. ⊱ PUGGY : hox i needed you. ⊱ GOTYE : somebody that i used to know.⊱ THE LIBERTINES : what katie did. ⊱ COLDPLAY : viva la vida ⊱ THREE DAYS GRACE : i hate everthing about you.
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| Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 18:21 | |
| - Mederick C. Bloomsberry a écrit:
- Merci a vous deux, que dire de Leighton, un lien sera de rigueur
Avec plaisir! |
| | | | Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 18:34 | |
| Bienvenue ♥ Bonne chance pour ta fiche ♥ |
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Mederick C. Bloomsberry
MILES PARCOURUS : 15 ROADIEN DEPUIS LE : 13/05/2012 CRÉDITS : Dodixe
GIVE ME YOUR HAND ❧
| Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 18:56 | |
| Merci, Candice Fiche terminée il me semble |
| | | | Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » Dim 13 Mai - 19:43 | |
| Je te valide (a) Pense à recenser ton avatar ♥ |
| | | | Sujet: Re: Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » | |
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| | | | Mederick - « Who I was before, I cannot recall. » | |
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